La rose pourpre du Caire

Quelle idée merveilleuse ! Quand la fiction rejoint la réalité. Un héros qui veut vivre une « vraie » histoire d’amour alors que les seuls codes qu’il connaisse sont ceux du cinéma. Dans la vraie vie, on meurt, on paie avec du vrai argent… Un film plein d’humour, de sentiments, de poésie. J’adore.

« Le charme de l’imaginaire, en opposition à la douceur de vivre, est un thème récurrent de mon travail. Je ne l’avais jamais perçu, et ce sont quelques critiques et amis qui me l’ont fait remarqué… Je crois que cette fois j’ai traité le thème d’une manière plus divertissante que je ne l’avais jamais fait. » (Woody Allen)

Woody Allen s’est inspiré de « Sherlock Junior » (Buster Keaton, 1924), de « Hellzapoppin » (Henry C. Potter, 1941), du « Sheik blanc » (Federico Fellini, 1952) et de « Six personnages en quête d’auteur » (Luigi Pirandello, 1921).

British Academy Film Award : meilleur film et meilleur scénario – New York Film Critics Circle : meilleur scénario – Prix Léon Moussinac – César du meilleur film étranger – Bodil (danois) du meilleur film non européen – Boston Society of Film Critics Awards : meilleur scénario – Prix de la Fédération Internationale de la Presse Cinématographique pour Woody Allen – Prix Mainichi (journal japonais) du meilleur film en langue étrangère.