Les bronzés 3 amis pour la vie

Ah ah ah ah ah ah ! ………..GROTESQUE ! Bon, c’est la première et la dernière fois que je fais un article sur un film que je n’ai pas vu jusqu’au bout. Voilà la petite histoire. Ce film passe à la télé. JE SAVAIS qu’il était mauvais, JE SAVAIS que ce n’était pas la peine de le regarder. Mais je suis très curieuse et cette curiosité l’a emporté. Nous avons donc regardé ce film juste une mi-temps (jusqu’aux pubs quoi) parce que : 

• C’était déjà beaucoup
• On a craqué

Absence de scénario (et pourtant ils étaient 6 scénaristes!!!!). J’avais l’impression qu’ils se disaient : « bon, on fait quoi aujourd’hui ? Du jet ski ? A oui ! Super, faisons du jet ski, amusons-nous, filmons par la même occasion, pas grave si c’est sans intérêt ! « 

Absence d’humour (on a cherché, on n’a pas vu ce qui pouvait être drôle), références aux premiers volets caricaturales et prévisibles !

ET le titre !!!! PITIÉ ! 

Et je ne vous parle pas du jeu des acteurs : lamentable, faux. D’ailleurs, peut-on les appeler acteurs sur ce film ? J’en doute ! Ceux qui ont fait ce film sont indécents ! Comment ont-ils osé proposé un tel film à leurs fans ? Ah quand le fric nous tient ! 

Au box-office français, le film est classé au 20e rang (tous pays de production confondus), et au 6e rang des films français. Il détenait le record de la meilleure première semaine avant d’être battu en 2008 par « Bienvenue chez les Ch’tis« . En Belgique et en Suisse, « Les Bronzés 3 – Amis pour la vie » fut le meilleur démarrage pour un film français. Aaarrrrggghhhh !!!!

Pour résumer : GROTESQUE ! MINABLE ! BIDON ! IMPOSTEURS ! REMBOURSEZ !

« Le processus a presque duré six mois, on a fait des réunions pour chercher ce qu’on voulait faire. S’est alors imposée l’idée d’un nouveau Bronzés, et on est parti avec Thierry une petite dizaine de jours en Corse pour écrire un synopsis. Quinze pages qu’on a soumises aux autres. Ils ont tout de suite accroché sur ce qu’étaient devenus ces personnages. C’est alors allé assez vite. On a passé quatre mois intenses sur l’écriture, ceux qui étaient libres venaient, ceux qui pouvaient moins passaient par intermittence« . (Christian Clavier)

Moua ha ha ha ha ! Ceci explique cela.

« C’était tellement horrible que j’en ai pleuré. Aux yeux des anciens du Splendid, je n’étais rien. Juste une débutante face à d’anciens amis. Les anciens du Splendid sont des industriels, moi, je suis restée un artisan. » (Dominique Lavanant)